La Belgique criminelle

En 1907, à Bruxelles, le fils de l'ambassadeur du Chili tue l'un de ses amis de plusieurs coups de révolver, afin de sauver l'honneur des siens.

Pour ce deuxième numéro, Jean-Louis Lahaye propose de revenir sur une intrigante affaire d'empoisonnement datant de 1922. A Gand, un certain Vicomte de Mazière, qui n'en est pas à son premier coup d'essai, devient le principal suspect d'un terrible crime. Usurpation d'identité et falsification de papiers font partie de ses anciens faits d'armes.

Avec l'affaire Mestag, Jean-Louis Lahaye propose une plongée dans les bas-fonds de l'Anvers ouvrière de la fin du XIXe siècle. En 1878, une femme est portée disparue, puis finalement retrouvée découpée en morceaux. Un seul suspect figure sur la liste des suspects : son mari Mestag, un alcoolique notoire. Mais l'homme niera les faits jusqu'au bout.

En 1956, à Bruxelles, un triple assassinat est commis rue Royale. On retrouve le corps d'un vieillard, le général Deisser, de sa belle-soeur et de sa servante. Un vol a également été commis, mais le meurtrier connaissait-il la famille ?

Retour sur l'affaire de Moulbaix, une mystérieuse affaire dans le milieu aristocratique du Hainaut (1889) avec comme point de départ, l'assassinat de la Marquise du Chasteler. Qui a tué la marquise ?

En 1847, un triple meurtre, accompagné d'un vol, est commis dans la maison d'un riche notaire bruxellois, place Saint-Géry. Les moyens d'enquêtes de l'époque sont limités.

En 1945, dans le Liège d'après-guerre. Le cadavre d'une homme dépecé à été retrouvé. Les Américains, alors installés sur le territoire belge, se chargent de l'enquête, qui s'avère rapidement très compliquée. La principale suspecte va multiplier les versions, pour accuser finalement un homme de couleur d'être l'auteur du crime.

En 1860, Pierre Coucke et Pierre Goethals, deux ouvriers flamands installés dans le Borinage, sont accusés d'avoir volé et assassiné la Veuve Dubois, âgée de 70 ans à Couillet. Les deux hommes seront condamnés à mort et guillotinés à Charleroi en 1860 suite à l'envoie d'une lettre anonyme. Mais les deux hommes qui parlaient mal français étaient-ils vraiment coupables ?