Gomorra saison 4 : Gennaro peut-il vraiment changer de vie ?

Au fil des épisodes de la saison 4 de Gomorra, Gennaro se rend bien compte que ce n’est pas le tout de vouloir laisser son ancienne vie derrière lui, il faut aussi le pouvoir. Dans un monde où le nom Savastano est automatiquement lié à la Camorra, Genny a bien du mal à se détacher de son image de criminel.

Très rapidement, Gennaro et le téléspectateur se rendent compte que même les hautes sphères ne sont pas immunisées contre la criminalité et le mal, ce qui sert largement le personnage puisque cela reste un milieu familier pour lui. Cependant, on a vu au fil des épisodes que son passé peut aussi se retourner contre lui.

Dans l’épisode 8, disponible depuis le 20 avril sur myCANAL, Gennaro est bien décidé à laver son nom et souhaite que son nouveau projet soit fait dans les règles de l’art, et surtout en toute légalité. Et quand un nouveau rebondissement le met en difficulté, notamment vis-à-vis du père d’un camarade de classe de son fils, Genny n’a plus d’autre choix que de prendre une décision drastique.

Si dans le premier épisode de la saison 4 il a remis les rênes de Secondigliano à Patrizia, l’héritier des Savastano décide de totalement couper les ponts à cet héritage familial en offrant entièrement le quartier à son ancienne associée. Le destin de Secondigliano repose désormais entre les mains de Patrizia, qui se prépare alors à épouser Michelangelo et donc à rejoindre officiellement le clan des Levant.

Ce geste de Gennaro Savastano va-t-il réellement lui permettre de redorer son image et laver son nom ? Cela pourrait s’avérer compliqué puisque la guerre des clans devrait reprendre de plus belle à Naples, alors que Patrizia fera des découvertes pour le moins choquantes qui la placeront dans une situation délicate. Genny réussira-t-il à tenir sa promesse à Ciro et rester éloigner du reste ? C’est ce que nous devrions voir dans les 4 derniers épisodes de Gomorra.

Retrouvez la saison 4 de Gomorra sur myCANAL et également avec l’offre CANAL+SÉRIES.