Terre sauvage

Un projet ambitieux prend forme à plus de 300 km de Montréal, en pleine forêt. Lucas, Gwenaël et Alain allient leurs efforts pour ériger un village autosuffisant écotouristique. En plein coeur de l'hiver, la neige est abondante et le froid perçant. Accompagné d'un groupe de vivalistes, Lucas part en expédition afin de trouver l'emplacement idéal pour la construction d'une érablière. Audrey désire accoucher dans le wigwam collectif, mais des complications surgissent.

Dans une forêt isolée, des vivalistes bâtissent une communauté autosuffisante. L'accouchement difficile d'Audrey bouleverse le groupe. Le printemps apporte de nouveaux défis, dont la construction d'une maison pour Lucas et sa famille. La vie dans le wigwam collectif révèle un besoin d'intimité. Ces pionniers modernes poursuivent leur quête d'autonomie en harmonie avec la nature, malgré les obstacles.

Dans une forêt isolée, des pionniers créent une communauté autosuffisante. L'épisode expose leurs défis de construction, dont un toit innovant, et l'arrivée de nouveaux membres. Un adolescent rejoint l'aventure, vivant une expérience formatrice. Entre travaux collectifs et vie sauvage, ce projet enseigne l'autonomie et la solidarité. Les moments familiaux renforcent les liens de cette microsociété émergente

C'est le grand retour d'Audrey à Terre sauvage ! Elle compte bien s'y installer pour de bon avec son nouveau-né, Alaku. Avec l'aide de sa famille, elle entreprend la construction d'une yourte qui deviendra sa demeure permanente. Mais les travaux ne se passent pas comme prévu. Pendant ce temps, Gwenaël tente de construire une clôture sous l'oeil critique de Lucas. Maïla, elle, se métamorphose en gentille sorcière des bois et se lance dans la cueillette de pétales de roses sauvages.

Désormais, l'été bat son plein. Au soleil : 42 degrés Celsius. Pour Audrey et son jeune bébé, c'est très difficile. Sa famille revient l'aider, mais la construction de sa demeure prend encore du retard. Ailleurs, malgré les difficultés, les travaux avancent bien. On tente d'ériger un tipi tout en améliorant la tente de prospecteur de JP. Lucas et sa famille ont emménagé dans la maison ronde. Sovan est radieux, et son père est conquis, malgré un mal de dos qui ralentit son ardeur au travail.

Dans ce sixième épisode, Lucas se lance un gros défi : donner des cours de vie en forêt à un groupe de jeunes de 9 à 11 ans. Ce camp d'initiation au vivalisme apporte son lot de surprises, car Mère Nature n'est pas clémente. Jean-Philippe fait une démonstration de sa réalité urbaine d'élagueur. Epuisée, Audrey accepte à nouveau l'aide de sa famille afin de faire avancer la construction de sa yourte, mais les épreuves ne cessent de s'accumuler pour la jeune maman.