Le dessous des cartes : l'essentiel

Conclu pour une durée de 60 jours, le cessez-le-feu entre le Hezbollah libanais et l'armée israélienne prévoit le recul du Hezbollah au nord du fleuve Litani, l'évacuation des troupes israéliennes du Sud-Liban et le déploiement de l'armée libanaise à la frontière, avec le renfort des casques bleus de l'Onu. Comment en est-on arrivé là ? Que reste-t-il du Hezbollah ? Sortons nos cartes.

Après la Cop29 à Bakou, une autre conférence internationale onusienne s'est ouverte à Busan, en Corée du Sud, dédiée cette fois au plastique. Point commun entre les deux sommets : les signaux d'alerte ont beau être tonitruants - la pollution plastique n'épargne aucun continent -, certains pays bloquent toujours, même si des avancées existent. Sortons nos cartes.

Troisième plus grande agglomération d'Ukraine, Dnipro a été frappée par un missile expérimental russe conçu pour porter une ogive nucléaire. Vladimir Poutine a également menacé les pays qui fournissent à Kiev des missiles longue portée, provoquant une brutale escalade dans la guerre. Au coeur du conflit, le fleuve Dniepr raconte à lui seul les ravages subis par les Ukrainiens.

C'est le nouveau duo qui truste nos écrans : Elon Musk, l'homme le plus riche du monde, et Donald Trump, le futur président de la première puissance du monde. L'occasion pour nous de revenir sur cet attelage inédit entre pouvoir numérique et pouvoir politique, et, au-delà, de raconter l'histoire de ces réseaux sociaux qui ont envahi nos vies et nos démocraties. Sortons nos cartes.

Si l'Espagne et l'Allemagne considèrent le projet d'accord avec le Mercosur comme une opportunité, les agriculteurs français y voient surtout une concurrence déloyale, l'Amérique latine produisant moins cher et avec moins de normes. Ce débat révèle aussi un malaise : celui d'un monde agricole qui a vécu ces dernières décennies une révolution, pour le meilleur et pour le pire. Sortons nos cartes.

Direction la mer Baltique où un câble sous-marin reliant l'Allemagne à la Finlande a été mystérieusement endommagé. L'occasion de nous poser deux questions : comment les câbles sous-marins sont-ils devenus des cibles ? Pourquoi la Finlande a-t-elle une relation particulièrement tendue avec la Russie de Vladimir Poutine ? Sortons nos cartes.

Au lendemain de l'une des plus importantes attaques de la Russie contre l'Ukraine, Joe Biden a cédé à une demande récurrente de Volodymyr Zelensky en lui donnant l'autorisation de frapper le sol russe avec des missiles longue portée. Une décision qu'il faut aussi mettre en rapport avec l'élection de Donald Trump et la présence de soldats Nord-Coréens près de Koursk. Sortons nos cartes.

La Russie et la Corée du Nord ont officialisé cette semaine leur partenariat de défense mutuelle. Parallèlement, 10 à 12.000 militaires nord-coréens ont déjà été engagés aux côtés des soldats russes dans la région de Koursk, entraînant de fait une internationalisation du conflit. L'occasion de nous souvenir que ce lien Pyongyang-Moscou est ancien.

Depuis l'invasion russe de l'Ukraine en février 2022, les pays de l'Est européen se sentent directement menacés par l'expansionnisme poutinien. Ils sont en demande d'une protection importante de l'Otan, tout en étant inquiets du tournant isolationniste que pourraient prendre les États-Unis de Donald Trump. Au-delà, c'est l'ensemble des pays européens qui s'interrogent. Sortons nos cartes.

En Argentine, l'élevage bovin est marqué par une industrialisation massive, avec des parcs d'engraissements où s'entassent jusqu'à 10 000 bêtes nourries aux OGM. C'est ce phénomène que les agriculteurs européens ont en tête lorsqu'ils dénoncent l'accord UE-Mercosur, qui prévoit de supprimer la majorité des droits de douane entre l'Europe et cinq pays d'Amérique latine. Sortons nos cartes.

La 29e conférence annuelle pour le climat s'est ouverte en Azerbaïdjan, pays immensément riche en hydrocarbures, tenu d'une main de fer par Ilham Aliev. Une Cop29 qui vise notamment à financer la transition verte des pays les moins favorisés, alors que les signes du dérèglement climatique (en particulier l'augmentation du niveau des mers et des océans) sont partout. Sortons nos cartes.

Viktor Orban, le meilleur ami européen de Donald Trump, accueille à Budapest la Communauté politique européenne, composée des Vingt-Sept et de leurs voisins, de la Turquie à l'Ukraine. Il y a de l'inquiétude chez Volodymyr Zelensky sur ce que sera la politique de Trump en janvier prochain, lui qui critique le soutien américain à Kiev et se montre si imprévisible. Sortons nos cartes.

La nette victoire de Donald Trump montre qu'il n'a pas seulement convaincu l'Amérique blanche et conservatrice, mais pris aux démocrates une partie conséquente de la classe moyenne et aussi séduit des Américains issus de l'immigration. L'occasion de regarder de plus près cette Amérique qui a donné à Donald Trump une victoire encore plus large en 2024 qu'en 2016. Sortons nos cartes.

L'Ukraine attend avec appréhension les résultats du scrutin des élections présidentielles américaines. Quels sont les discours et les promesses de Donald Trump et Kamala Harris sur l'avenir de l'Ukraine ? Pour mieux les analyser, retour sur l'évolution des relations des États-Unis (de Trump à Biden) avec la Russie, l'Ukraine et les Européens. Sortons nos cartes.

Pendant que le monde entier a les yeux rivés sur la présidentielle américaine, les bombardements se poursuivent à Gaza et au Liban où 1 million et demi de personnes ont été déplacées. L'occasion pour nous de mesurer que, si le soutien à Israël est une constante de la diplomatie américaine, dans les faits, Trump et Biden n'ont pas mené la même politique. Sortons nos cartes.

Une atmosphère de guerre commerciale flotte entre Pékin et Bruxelles. La Chine a décidé d'imposer des droits de douane supplémentaires au cognac - dont il est le deuxième plus gros acheteur au monde. Une surtaxe de 34,8 % en réponse à la taxe européenne ciblant les voitures électriques made in China. Cognac contre voitures électriques, et si ce n'était qu'un début ? Sortons nos cartes.

C'est l'un des sept États pivots de l'élection présidentielle américaine - avec le Nevada, l'Arizona, le Wisconsin, le Michigan, la Géorgie et la Caroline du Nord - et parmi eux celui qui compte le plus de grands électeurs. Qu'est-ce qui, dans la géographie et la sociologie de la Pennsylvanie, peut expliquer que Trump et Harris y soient au coude à coude ? Sortons nos cartes.

Emmanuel Macron a été accueilli par le roi du Maroc en personne dans le cadre d'une visite d'État de trois jours : la relation Paris-Rabat semble revenue au beau fixe après six ans de fortes tensions. Sortons nos cartes.

Direction Tbilissi, capitale de la Géorgie aux côtés de Salomé Zourabichvili qui appelle à de grandes manifestations pour refuser que ce pays du Caucase tombe dans l'orbite russe. La météo du monde version ARTE : un coup de projecteur sur un élément important de l'actualité internationale en train de se produire.

Le président égyptien Al-Sissi continue son mégaprojet de capitale administrative surnommée Sissi City. Un chantier dont les coûts explosent, déjà 58 milliards de dollars, dans un pays au bord de la faillite. Retour sur les grands aménagements en Égypte et au Caire, et leurs effets sur la population - 106 millions d'habitants en 2024. Sortons nos cartes.

Direction le sommet des Brics à Kazan, en Russie, évènement diplomatique majeur pour Moscou. Parmi les huit États anti-occidentaux invités par Poutine : la Chine, l'Inde, l'Égypte et l'Afrique du Sud. Retour et éclairage sur ce groupe qui n'a ni alliance, ni marché commun et qui rêve de détrôner le dollar, monnaie mondiale, ultime symbole du pouvoir occidental.

La Cop16 biodiversité s'est ouverte lundi à Cali, en Colombie. Son slogan, Faire la paix avec la nature, annonce son objectif : protéger ou restaurer 30 % des terres et des mers d'ici 2030. En 50 ans, les populations mondiales d'animaux sauvages ont baissé de 73%. Zoom sur les oiseaux et les abeilles, deux espèces très fiables pour mesurer la santé globale de nos écosystèmes.

Hier, les Moldaves se sont prononcés sur deux scrutins : le premier tour de l'élection présidentielle et le référendum pour une future adhésion à l'UE. La présidente sortante Maia Sandu est arrivée en tête de la présidentielle. Le oui l'emporte de justesse, mais la déstabilisation provenant de Moscou continue, et une partie de la Transnistrie est sous contrôle russe. Sortons nos cartes.

7 822 kilomètres séparent Washington de Moscou ; mais si l'on se place dans l'océan Arctique, États-Unis et Russie sont très proches. Les deux îles Diomède (la petite est américaine, la grande russe) ne sont distantes que de 3 kilomètres ! L'occasion pour nous d'aller plus loin dans l'exploration de cette zone arctique où Vladimir Poutine entend toujours avoir un coup d'avance.

Désormais, les migrants interceptés en mer par les forces italiennes de sécurité pourront être conduits en Albanie dans des centres pour demandeurs d'asile, où leur situation administrative sera examinée. L'objectif de cet accord entre Rome et Tirana est assumé : dissuader les migrants de tenter le voyage. Une problématique au coeur du débat politique européen. Sortons nos cartes.

Coupée en deux depuis 1953, la Corée connaît régulièrement des pics de tension entre le Sud prospère et le Nord enfermé dans la dictature des Kim. Ces derniers jours, Pyongyang a entrepris de détruire des axes routiers et ferroviaires la reliant au Sud. Des infrastructures très peu utilisées, mais qui demeuraient comme un symbole du lien entre les deux Corée. Sortons nos cartes.

Israël a demandé aux 10 000 casques bleus déployés au Liban sud de se retirer afin de ne pas servir de boucliers humains aux terroristes du Hezbollah. Mais l'Onu s'y refuse par principe. Sauf que, ces derniers jours, plusieurs de ses soldats ont été blessés dans les opérations de Tsahal. Pour mieux comprendre le rôle des casques bleus au Liban et au-delà, sortons nos cartes.

Des ouragans de plus en plus puissants qui frappent les États-Unis (Hélène, Milton…) ; des pluies diluviennes en Géorgie et en Caroline du Nord ; la dépression Kirk qui vient de s'abattre sur la France ; la tempête Boris qui a fait des dégâts considérables en Europe centrale… L'occasion pour nous de faire un rapide tour du globe des dérèglements du climat. Sortons nos cartes.

Benjamin Netanyahou a promis aux Libanais des destructions et des souffrances comme celles que nous voyons à Gaza s'ils ne se débarrassaient pas du Hezbollah. Or la milice libanaise est solidement implantée au coeur du pays. De quoi faire redouter une extension de l'opération limitée déclenchée par Israël, dans un Liban épuisé qui n'a que trop connu la guerre. Sortons nos cartes.

Alors que la guerre fait rage, deux hommes font le pari de la paix. Nasser Al-Qidwa, ancien ministre des Affaires étrangères de l'Autorité palestinienne, et Ehoud Olmert, ancien premier ministre d'Israël, ont publié ensemble une tribune et un plan qui, selon eux, permettrait de construire une paix israélo-palestinienne durable. En quoi consiste ce plan ? Sortons nos cartes.

Le 7 octobre 2023 a été le point de départ d'un engrenage sinistre qui a vu le conflit israélo-palestinien ressurgir tragiquement et changer d'échelle, de la bande de Gaza au nord d'Israël, du Liban au Yémen, de Tel Aviv à Téhéran. L'occasion pour nous de revenir en sept étapes sur cette année de guerre au Proche-Orient. Sortons nos cartes.

Le nouveau premier ministre japonais Shigeru Ishiba a pris ses fonctions en promettant une nouvelle ère. Il faut dire que le Japon est traversé par une crise de confiance : le pays est vieillissant, secoué par des scandales politico-financiers à répétition et toujours traumatisé par la catastrophe de Fukushima. Enfin, l'impérialisme maritime chinois inquiète... Sortons nos cartes.

Depuis que l'Iran a tiré entre 180 et 200 missiles vers Israël, les déclarations se multiplient de part et d'autre pour affirmer que cette attaque et la riposte à la riposte auront de graves conséquences. L'occasion d'essayer de comprendre pourquoi le Proche-Orient vit aujourd'hui un moment historique, avec une confrontation directe entre Iran et Israël. Sortons nos cartes.

Le monde entier regarde vers le Liban après la mort d'Hassan Nasrallah. Car le Hezbollah, à l'origine une milice armée par l'Iran pour repousser Israël, est aussi devenu un parti politique assurant des missions sociales dans les zones du pays qu'il contrôle d'une main de fer. Quelles conséquences la mort du leader du Hezbollah peut-elle avoir sur les Libanais ?

Lors d'une réunion du conseil de sécurité russe, Vladimir Poutine a menacé d'utiliser l'arme nucléaire en cas d'attaques aériennes massives sur son sol, y compris contre des pays non nucléaires s'ils ont le soutien de pays dotés de la bombe. Un message adressé en particulier aux alliés de Kiev disposant de ce type d'armement et qui pourraient se croire à l'abri. Sortons nos cartes.

Devant le Conseil de sécurité de l'Onu, Volodymyr Zelensky a présenté un plan de paix tout en réclamant la possibilité d'utiliser des missiles occidentaux pour frapper les bases russes. Pour l'instant, aucune rencontre n'est prévue entre diplomates ukrainiens et russes. Mais sur quelles bases territoriales Kiev et Moscou pourraient-ils vraiment négocier ? Sortons nos cartes.

Les frappes israéliennes visant les fiefs du Hezbollah ont fait des centaines de morts et des milliers de blessés au Liban. Jusqu'où ira cette offensive israélienne sur le Liban ? Jusqu'où iront le Hezbollah et son allié iranien ? Des questions que se pose l'ensemble de la communauté internationale réunie cette semaine à l'Onu. Sortons nos cartes.

Le président ukrainien est aux États-Unis avec un programme chargé : présenter son plan pour la victoire, s'exprimer devant le Congrès américain et les Nations unies, mais aussi convaincre ses alliés de le laisser utiliser des missiles longue portée pour viser les bases russes. Une stratégie qui pourrait faire entrer le conflit dans une nouvelle phase.

Bipeurs et talkies-walkies qui explosent au Liban ; nouveaux drones lance-flammes que les Ukrainiens utilisent face aux Russes… : plus que jamais, la guerre se fait par tous les moyens - technologiques, logistiques, psychologiques. Une guerre qui est aussi actionnée à distance, avec notamment ce que l'on appelle la robotisation du champ de bataille. Sortons nos cartes.

Au Liban, l'explosion simultanée de milliers de bipeurs a fait plus d'une dizaine de morts et 2 800 blessés, principalement dans le sud de Beyrouth et la plaine de la Bekaa, deux fiefs du Hezbollah. Cette milice paramilitaire, bras armé de l'Iran, est également devenue un parti politique et même un État dans l'État libanais. Quelles sont ses forces et ses faiblesses ? Sortons nos cartes.

Lors de sa première conférence de presse, le président de la République islamique Massoud Pezeshkian d'Iran a tenu des propos pacificateurs concernant les États-Unis, le programme nucléaire iranien, mais aussi les questions sociétales avec notamment un allègement des restrictions. Ce nouveau président réformateur a-t-il vraiment le pouvoir de faire évoluer le régime ? Sortons nos cartes.

Cherchant à répondre à la poussée de l'extrême droite et aux récents attentats, le gouvernement d'Olaf Scholz a rétabli pour six mois des contrôles aux frontières au nom de la lutte contre l'immigration illégale. Pourquoi le fait que ce soit l'Allemagne qui prenne ce type de décision n'est pas neutre ? Est-ce la première fois que Berlin prend des positions de façon unilatérale ?

L'Amazonie brûle encore et encore, principalement au Brésil, mais aussi en Uruguay, en Argentine, en Bolivie... En cause : le dérèglement climatique et des incendies orchestrés par des agriculteurs. Face à l'ampleur des feux, le gouvernement Lula a décrété l'état d'urgence. L'occasion de ressortir nos cartes des forêts du monde pour comprendre à quel point elles sont indispensables à notre survie.

Lors de leur duel télévisé, Donald Trump et Kamala Harris ont confronté deux visions du monde. Harris a rappelé les alliances, le multilatéralisme, là où Trump a vanté sa relation personnelle avec les dirigeants - la Démocrate moquant son goût pour les dictateurs. Mais au-delà des mots, quels actes diplomatiques ont marqué la présidence Trump entre 2017 et 2021 ? Sortons nos cartes.

La Cisjordanie peut-elle devenir un nouveau front de la guerre Hamas-Israël ? Dimanche dernier, trois vigiles israéliens ont été tués au point de passage entre la Cisjordanie et la Jordanie. Cette dernière fait pourtant tout ce qu'elle peut pour rester à l'écart de la guerre. Retour sur l'histoire et la géographie de ce pays aux portes du conflit israélo-palestinien.

Si Vladimir Poutine et Xi Jinping ont félicité Nicolas Maduro pour sa réélection, le candidat de l'opposition Edmundo Gonzales Urrutia dénonce toujours une reconduction trafiquée, suivi en cela par toute une partie de la population et de nombreux pays (les États-Unis, l'Union européenne...). Alors qu'Edmundo Gonzales Urrutia vient de trouver refuge en Espagne, focus sur le Venezuela.

En Algérie, l'élection présidentielle du 7 septembre devrait sans surprise reconduire Abdelmajid Tebboune pour un deuxième mandat - seuls deux autres candidats sur quinze ont été autorisés à se présenter par le pouvoir. L'occasion pour nous de revisiter ce pays regorgeant de ressources et de potentialités, mais empêché par son histoire et son système politique. Sortons nos cartes.

Le pape François entame son voyage en Asie du Sud-Est par l'Indonésie, le pays qui compte le plus de musulmans au monde. S'il y a tenu un discours dénonçant tout extrémisme religieux, c'est précisément parce que l'Indonésie contemporaine s'est construite sur le principe d'une cohabitation harmonieuse entre les différentes religions qui la composent. Sortons nos cartes.

Malgré le mandat d'arrêt émis contre lui par la Cour pénale internationale, Vladimir Poutine a été chaleureusement accueilli en Mongolie. Cette visite rappelle le lien historique entre Moscou et Oulan Bator, démontre la difficulté pour le pays d'échapper à ses deux encombrants voisins - la Chine et la Russie -, mais souligne aussi l'isolement de Vladimir Poutine. Sortons nos cartes.

Pour la première fois depuis l'époque nazie, l'extrême droite est arrivée en tête lors d'élections en Thuringe - et en deuxième position en Saxe. Autre fait majeur : la percée du parti populiste de Sahra Wagenknecht, pro-russe et anti-immigrés. Que sait-on de la sociologie électorale de ces régions ? Comment expliquer cette bascule politique vers les extrêmes ? Sortons nos cartes.